Farhang Gassemi, membre du comité de la FEDE est également président de la Commission des droits de l’Homme au sein de notre fédération. Il dirige aussi un groupe privé d’enseignement supérieur (Cogefi) et trouve le temps d’écrire des livres. Présentation.
Comment votre parcours a-t-il commencé ?
J’ai préparé simultanément dans les années 80 une thèse en science politique à l’Université Paris 2 et un troisième cycle de management à l’Université Paris Dauphine ; ensuite (1988) j’ai créé mon propre groupe d’enseignement supérieur : le groupe Cogefi.
Quelles en sont les spécificités ?
Le groupe a compté jusqu‘ à trois écoles, soit sept cents étudiants ; aujourd’hui j’ai réduit la voilure. 200 étudiants, une vingtaine de professeurs intervenants et une dizaine de salariés composent les effectifs d’une école spécialisée en management ; cette école propose des formations allant du Bachelor au Master.
C’est donc dans le cadre du groupe Cogefi que votre itinéraire a croisé celui de la FEDE ?
Exactement. Le groupe Cogefi est membre de la FEDE depuis 1992. Je suis donc un historique de la FEDE ! Aujourd’hui en qualité de membre élu du comité, je m’efforce toujours d’être force de propositions et d’encourager toutes les initiatives allant dans le sens d’une éducation à la citoyenneté et à la démocratie. Bref, aujourd’hui comme hier, je m’implique vraiment dans la vie de la structure.
Et avec toutes ces occupations, vous trouvez le temps de publier des ouvrages ?
Oui, j’essaie. De 1983 à 2006, j’ai publié une série d’ouvrages sur le syndicalisme (en Iran, en Pologne, dans le monde…) ; j’apprécie également mon statut d’auditeur au sein de l’Office professionnel de qualification des conseils en Management (OPQF-ISQ).