Au terme de votre première année de recherches où en êtes-vous en matière de rédaction du mémoire ?
J’ai déjà rédigé une grosse quarantaine de pages et mon intention est de produire environ 150 pages de diagnostics et 150 pages de thérapies. Ces dernières pages porteront sur des séquences pédagogiques, sur leur réception par les élèves et donc sur les améliorations à apporter.
Quelles sont vos découvertes professionnelles et personnelles ?
Le sujet que je propose intéresse les institutions et les professionnels et je suis ainsi en lien étroit avec certaines écoles de la FEDE, le MESRI et le CNAM.
Les rencontres que j’ai faites tant avec les doctorants, qu’avec mes professeurs de DBA, sont une mine de richesses, d’échanges, de savoirs et de relations. Cela booste mon capital et m’ouvre des portes relationnelles et professionnelles des plus intéressantes. On me propose déjà d’évoluer au sein d’ESMOD et ce à l’international.
Quelles sont les difficultés actuelles que vous rencontrez ?
Je ne ressens pas, pour le moment, de difficultés sachant que les problèmes d’ordre matériel et logistique sont en passe d’être réglés.
Par ailleurs, je vais utiliser mon compte formation pour me mettre à niveau en anglais, car je dois être opérationnelle pour m’épanouir ensuite professionnellement à l’international.